L’Univers est programmé

Sommaire

Univers ou Grand Tout                                          3

La programmation de l’Univers                             5

Un univers d’énergie intelligente                        7

La programmation de la vie humaine                    9

La programmation dès la naissance                     17

Les conditions de la programmation                    18

Rigidité ou souplesse des programmations        21

La programmation des guerres mondiales         28

Progresser au fil des incarnations                       32

La vie entre deux incarnations                            33

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Univers ou Grand Tout

Au sens cosmologique, l’univers n’est constitué que de l’ensemble de la matière et de l’énergie, observable ou discernable.

Les cosmogonies ont une définition plus vaste de l’univers, dépassant les seules réalités matérielles du cosmos, pour inclure l’invisible âme du monde dans un Grand Tout.

Cet univers Grand Tout constitue fondamentalement une seule entité, sous une infinie diversité d’apparences et son existence n’est pas abandonnée au hasard mais rigoureusement programmée.

Nous pouvons concevoir cet univers comme une infinie machinerie constituée d’ensembles, sous-ensembles et sous-sous-ensembles, des galaxies jusqu’aux microorganismes.

Cet Univers suivrait un processus d’évolution-complexification, vers toujours plus d’intelligence et de puissance.

Le meilleur modèle de représentation de l’Univers est le réseau hologrammique dans lequel chaque partie contient les informations sur le tout.

L’antique mythologie indienne le représentait allégoriquement comme le dais du trône du roi Indra, composé d’un nombre infini de perles dont chacune reflétait toutes les autres.

Le processus d’évolution-complexification, conduit au fil des milliards d’années, la particule élémentaire à s’élever successivement du minéral au végétal, puis à l’animal, avant que de parvenir à l’humain qui n’est qu’une étape vers le niveau ultime.  

La spirale ascendante figure allégoriquement ce processus :

Et la tradition nordique le résume en une formule poétique :

« Dieu dort dans les pierres

Respire dans les plantes

Rêve dans les animaux

Et s’éveille dans l’homme »

La programmation de l’Univers

La rigoureuse programmation de l’univers fut une réalité dès son commencement comme l’écrit  l’astrophysicien Trinh Xuan Thuan :

« L’exemple le plus frappant est celui de la densité de l’univers à son commencement (au temps de Planck) : elle doit être réglée avec une précision de l’ordre de 10-60. Autrement dit, si l’on changeait un chiffre après soixante zéros, l’univers serait stérile. » (1)

La puissance et la rigueur de l’organisation de l’Univers se révèle lors d’expériences d’ultra conscience, telles les situations proches de la mort. Une expérienceuse de NDE en témoigne :

« Il me semble tout découvrir mais sur un mode mathématique. Il me semble que tout est compté. Il y a une loi des chiffres. Tout est chiffrable, tout est à sa place… La numérologie de l’infini… Ce qui nous fait naître à tel endroit, à telle heure, avec telle importance, avec ce que nous avons à vivre. Tout se mélange, s’aligne et je comprends que tout fait partie d’ensembles qui forment des ensembles. Et j’assiste à un grand comptage, de tout ce qui est grand, immense, à l’infiniment petit. Jusqu’à ce que je réalise que chaque atome est compté. » (2)

Une autre expérienceuse décrit un infini de puissance d’énergie vibrante d’intelligence jusque dans les manifestations les plus subtiles comme les virus et l’antimatière :

« Sur un écran géant, immense, je vois, éberluée, la formation, la création de l’univers, de la terre, la rotation et l’influence des planètes, les « secrets de la vie » concernant tous les êtres vivants visibles ou invisibles à nos yeux, leur puissance.

En fait, je comprends que ce qui est le plus fort, le plus subtil, c’est ce que nous ne voyons pas : les virus, les entités, l’antimatière, etc…

Il m’est montré le futur de l’humanité…Tout cela dépend de nous, de notre conscience, du non respect de la nature, des humains.

Il faut réagir, s’imposer, défendre tous ensemble la Terre notre mère, l’eau, l’air…Un travail de géant mais l’union fait la force.

Je vois alors une arrivée massive d’enfants, des « surdoués » envoyés par Dieu, je pense. » (3)

Tous ces témoignages infirment la théorie encore dominante du hasard, émise par le biologiste Jacques Monod :

« Le hasard pur, le seul hasard, liberté absolue mais aveugle, à la racine même du prodigieux de l’évolution, cette notion centrale de la biologie moderne n’est plus aujourd’hui une hypothèse, parmi d’autres possibles ou au moins concevables. Elle est la seule concevable, comme seule compatible avec les faits d’observation et d’expérience. » (4)

Imaginer qu’un hasard aveugle ait pu produire les merveilles du monde est un non-sens.

Un univers d’énergie intelligente

L’univers est constitué d’énergie vibratoire intelligente ainsi que l’affirmait Max Planck, le fondateur de la physique quantique :

« Ayant consacré toute ma vie à la science la plus rationnelle qui soit, l’étude de la matière, je peux vous dire au moins ceci, à la suite de mes recherches sur l’atome : la matière comme telle n’existe pas.

Toute matière n’existe qu’en vertu d’une force qui fait vibrer les particules et maintient ce minuscule système solaire qu’est l’atome.

Nous pouvons supposer sous cette force l’existence d’un esprit intelligent et conscient. Cet esprit est la matrice de toute matière. » (5)

Cette énergie est fonction de son intensité, suivant la relation de Planck-Einstein :

E = hv

Energie = Constante de Planck, multipliée par l’intensité

Les plus récentes recherches en physique fondamentale ont abouti à une théorie du tout, décrivant l’ensemble des forces et formes de l’univers, nommée théorie des cordes et supercordes.

Ces cordes seraient un élément de la longueur de Planck (environ 10-33 cm) dans un univers à 10 dimensions (une dimension de temps et neuf dimensions de l’espace).

Par la simple modification de sa fréquence, la corde vibrante se transformerait en l’une ou l’autre des 61 particules élémentaires connues : électrons, neutrinos, positrons, quarks up ou quarks down, etc…

Ainsi, comme dans un infini lego, toute chose dans l’univers dépendrait du niveau vibratoire des cordes, c’est-à-dire que par la modification des cordes, tout pourrait se transformer en tout.

Le schéma ci-dessous figure les cordes comme constituants des quarks, eux-mêmes constituant les nucléons (protons et neutrons), composant les atomes qui sont à la base des molécules.

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La programmation de la vie humaine

Dans un univers programmé, il est naturel que toutes ses composantes le soient aussi. C’est ainsi le cas du sous-sous-ensemble que constitue l’humanité.

Sa programmation est la conséquence du processus de réincarnation qui fait que chaque nouvelle incarnation est la suite et conséquence des actes des existences précédentes, ce que la tradition védique-hindouiste nomme le karma.

La réincarnation n’est pas seulement la conviction des religions orientales telles que l’hindouisme et le bouddhisme, mais elle fut aussi celui des juifs Esséniens ou Nazirites, de la Grèce antique et des gaulois.

Ainsi Platon rapporte que Socrate affirmait que des prêtres et prêtresses, ainsi que tous ceux qui sont vraiment divins :

« disent que l’âme de l’homme est immortelle et que tantôt elle sort de la vie, ce qu’on appelle mourir, tantôt elle y entre de nouveau, mais qu’elle n’est jamais détruite… » (6)

A propos des druides, Jules César écrivait dans son livre « La guerre des Gaules » :

« Une croyance qu’ils cherchent surtout à établir, c’est que les âmes ne périssent point, et qu’après la mort, elles passent d’un corps dans un autre… » (7)

Au-delà des croyances, la psychologie a étudié rationnellement la réincarnation. Les premières études furent consacrées aux souvenirs de vies antérieures exprimés par des enfants.

Un certain nombre d’entre eux, dès qu’ils sont en âge de parler, évoquent des souvenirs de leur incarnation précédente. Le Pr Ian Stevenson (1918-2007), qui fut professeur de psychiatrie à l’université de Virginie a étudié près de 3000 cas dans la plupart des régions du monde.

Il réalisait de véritables enquêtes de police qui le conduisaient à retrouver, pour chaque enfant, la famille et les proches de la précédente incarnation.

Il publia un grand nombre d’articles ainsi qu’une dizaine d’ouvrages, dont plusieurs traduits en français.

Le dernier « Réincarnation et biologie », est particulièrement consacré aux marques ou malformations de naissance. Celles-ci sont particulièrement importantes car elles constituent les éléments de preuve les plus décisifs de la crédibilité des récits  des enfants.

Stevenson écrit :

« Dans une série de 895 cas pris dans 9 cultures différentes, 35% des sujets présentaient une marque (ou une malformation) de naissance… » (8)

Ci-dessous quelques photos et un tableau résumant 10 cas de marques ou malformations.

A droite, la photo d’un jeune turc, Sémih Tutusmus, âgé de 9 ans en 1967, né avec une malformation de l’oreille. Il rapportait avoir été tué d’un coup de fusil du même côté de la tête.

Au centre, une fillette Igbo du Nigéria née en 1980 avec un tissu cicatriciel autour de la tête. Elle raconta avoir été un biafrais, nommé Nsude Agbo, mort en mars 1970 après une opération chirurgicale tentée pour restaurer la forme de sa boite crânienne

A gauche, une jeune birmane Ma Htwe Win née en 1973 avec différentes marques sur le corps dont ces anneaux de constriction aux jambes.

Dans sa vie précédente elle aurait été un homme : Nga Than qui fut assassiné, attaché jambes repliées contre les cuisses, de manière à être mis dans un sac qui fut jeté dans un puits asséché.

  Incarnation actuelle
Nom du sujet et localisation géographique  
 
  Incarnation précédente  Marque de naissance  Origine de la marque
  Semih Tutusmus Turquie  Turc  Malformation de l’oreille externe droite  Tué d’un coup de fusil de chasse sur le côté droit de la tête  
  Ma Htwe Win Birmanie  Birman  Malformation des jambes et manque d’un doigt à la main gauche  Assassiné et mutilé par ses assassins      
  Maung Sein Win Birmanie  Soldat japonais  Marque ronde sur le thorax et une plus large dans le dos  Tué par une balle entrée par le thorax et ressortie dans le dos Marque Caractéristique  
    Maunt Myint Aung Birmanie    Soldat japonais    Marque allant d’un côté à l’autre du cou      Suicidé en se tranchant la gorge  
  Lutfi Sarakaya Turquie    Turc  Plusieurs marques sur le thorax    Tué à coups de poignard
    Duran Ircirgöz Turquie    Turc    Marque à la fesse.      Tué par balle dans un bordel        
        Jacinta Agbo Nigéria        Biafrais      Tissu cicatriciel de 2 cm de large tout autour du crâne  Tué des suites d’un coup de gourdin. à l’hôpital on lui ouvrit le crâne pour tenter de le soigner  
  Daw Aye Myint Birmanie  Birman  Zone linéaire de 15 cm sans cheveux sur le dessus de la tête    Tué par un coup d’épée ou de hachoir
  Mahmut Ekici Turquie  Turc  Petite cavité à la hauteur du foie  Tué d’un coup de baïonnette  
  Daw Aye Than Birmanie  Birmane  Marque depuis l’abdomen jusqu’entre les seins  Morte brûlée. La chaleur avait fait exploser intestins et paroi abdominale  

Certaines des marques observées par le Pr Stevenson sont si caractéristiques, qu’il est impossible de les attribuer au hasard.

Ainsi les marques laissées par l’entrée et la sortie de balles de fusils de guerre. La caractéristique de ces armes est d’avoir un canon rayé qui imprime à la balle un mouvement de vrille qui a un double but : améliorer la précision du tir et provoquer des blessures plus graves.

Relativement aux marques, cela provoque un petit trou à l’entrée de la balle et un plus gros à la sortie. Lorsqu’une personne rapporte avoir été tuée d’un coup de fusil de guerre et qu’elle porte cette double marque, il est impossible de parler de coïncidence.

D’autres études importantes furent celles du Dr Helen Wambach (1925-1985) qui était psychologue clinicienne et professeur de psychologie.

Elle fit expérimenter la reviviscence de vies antérieures par des milliers de personnes au cours de centaines de sessions d’exploration.

Elle demandait à tous les participants de remplir un questionnaire à l’issue de ces explorations et elle publia l’analyse de près de 2000 questionnaires dans deux livres :

– La vie avant la vie (1979)

– Revivre le passé (1992)

La recherche du Dr Wambach est particulièrement intéressante, en ce qu’elle a comparé dans son dernier livre, les éléments tirés de l’analyse de plus de 1088 questionnaires, avec des données historiques telles que :

– L’évolution de la population mondiale

– La durée de l’incarnation (mort jeune ou âgé)

– La répartition des sexes

– La race dans laquelle s’est déroulée l’incarnation

– La répartition des classes sociales

– L’alimentation (ou le manque de nourriture)

– Les modes vestimentaires

– L’usage des chaussures (ou absence de chaussures)

– La vaisselle employée

– Les conditions du décès (maladie, mort naturelle ou violente)

– La nature des funérailles

– Les événements sociaux

L’objectif était de vérifier la cohérence d’ensemble des témoignages et de répondre aux critiques de nombre de négateurs de la réincarnation, affirmant que tous ceux qui en parlent se vantent d’avoir été des personnages célèbres.

Ses statistiques sur la répartition des classes sociales selon les témoignages des explorants, ont démontré qu’ils étaient cohérents avec les données historiques : la proportion des personnes incarnées dans les différentes régions du monde, la proportion homme-femme ou  la répartition sociale.

Ainsi, dans le tableau suivant, le Dr Wambach a classé les sujets en fonction de la classe sociale de leur incarnation. Etaient classés en catégorie supérieure ceux qui décrivaient des éléments de confort tels que la vaisselle et un habitat confortable, inversement, étaient classés en catégorie inférieure ceux qui décrivaient une vie pauvre voire misérable.

    Epoque      Groupe  Classes sociales (en %)  
  Supérieure    moyenne  Inférieure
  2000 avant JC Total  1 et 2  5    28  67
  1000 avant JC 1000 avant JC Total  1 2  5 9  33 36  63 65
  500 avant JC 500 avant JC Total  1 2  8 0  30 28  62 72
  25 après JC 25 après JC Total  1
2
  3 5  20 27  77 68
  400 après JC 400 après JC Total  1 2  4 0  20 18  76 82
  800 après JC 800 après JC Total  1 2  2 0  25 37  73 63
1200 après JC 1200 après JC Total1 26 624 3070 64
1500 après JC 1500 après JC Total1 27 1228 3665 52
1700 après JC 1700 après JC Total1 28 1229 3363 55
1850 après JC 1850 après JC Total1 26 632 3862 56
XXème siècle XXème siècle Total1 27 530 3063 65

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La programmation dès la naissance

Naturellement, les réincarnations ne se font pas au hasard, mais au sein de ce que l’on nomme des groupes karmiques, rassemblant des personnes qui se sont déjà incarnées ensemble.

Le Dr Wambach rapporte quelques réponses données par les explorants :

« Ma mère était déjà ma mère dans une vie antérieure et l’un de mes enfants dans une autre vie. Mes enfants m’ont dit avant ma naissance qu’ils voulaient être mes enfants ; Je les connaissais effectivement non seulement dans des vies antérieures, mais aussi dans la période entre les vies. » (Cas A.381) »

« Ma mère était un prêtre irlandais dans une vie précédente. Ma sœur était une religieuse. Mon père était un Indien américain. Je savais que j’allais être rejetée affectivement par ma mère et ma sœur. » (Cas A.338)

« Je me suis rendu compte qu’au cours d’une vie précédente, ma mère m’avait tuée ainsi que mon père. Ni elle ni mon père ne s’en souviennent, je l’ai vu au cours de cette séance. Je me sens libérée d’avoir fait cette découverte. » (Cas A.589) »

« J’ai connu dans d’autres vies, ma mère, deux amis et mon plus jeune frère. Ma mère était ma domestique et mon père était un amant. Je me souviens d’avoir connu les autres, mais je ne sais plus comment. J’ai choisi d’être une fille parce que ma mère voulait une fille. » (Cas A.508)

« Ma mère était une de mes sœurs dans une autre vie. Mon père était capitaine sur un bateau où j’étais marin. J’ai l’impression que beaucoup de gens qui m’entourent ont vécu avec moi aux alentours des années 1600. » (Cas A.558) (11)

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Les conditions de la programmation

Les programmations ne sont pas imposées à l’être qui s’incarne, mais vivement conseillées par les guides, qui dans l’autre dimension, organisent les vies humaines.

Le Dr Michael Newton, un psychothérapeute américain qui a particulièrement étudié les conditions dans lesquelles sont organisées les incarnations, résume grâce aux témoignages recueillis auprès de ses patients, le processus des programmations de vie. Il évoque ce qu’il appelle « l’anneau de la destinée ».

« Le lieu où on choisit une vie est décrit comme une sphère composée d’écrans rayonnants avec des champs de force concentrés… cet endroit a été dépeint comme l’Anneau de la destinée où nous regardons d’abord notre prochain corps.

La plupart des sujets voient cet Anneau comme un théâtre circulaire, avec un dôme et des écrans panoramiques du sol au plafond qui les entourent complètement, mais situés dans une zone d’observation plus obscure.

Certaines personnes, parfois assises sur une plate-forme, voient des écrans avec deux ou trois côtés…

L’Anneau présente des scènes d’évènements du futur et les personnes que l’âme rencontrera dans la vie à venir. » (12)

Le choix de l’incarnation par le sujet, est un libre engagement que son libre arbitre lui permettrait même de ne pas tenir.

Le suicide est un exemple des situations dans lesquelles le sujet casse en quelque sorte son contrat de vie. Il s’agit d’une erreur absolue, car non seulement il n’échappera à l’épreuve, mais il y sera ramené d’une manière ou d’une autre, dans la dimension matérielle ou dans l’autre dimension.

On s’interroge souvent sur la forme que peuvent prendre les conséquences de nos actes, d’une incarnation à l’autre.

Elles sont multiples et l’actrice Shirley Mac Laine, nous en donne un exemple. Une longue psychanalyse avec exploration de ses existences passées, lui a permis de retrouver une incarnation, durant laquelle elle se montra terriblement égoïste envers des paysans misérables.

L’un d’entre eux était devenu son mari dans la vie présente.

« La dernière incarnation qu’il m’a été permis de voir a été spectaculairement liée à ma vie actuelle. Tout avait commencé en Russie…à l’époque des tsars. J’occupais un poste important à la cour. Je menais une vie de luxe…La pauvreté la plus noire s’étalait dans la campagne…la religion orthodoxe russe…régnait en maître.

La philosophie la plus répandue en ce lieu… était que les pauvres se voyaient écrasés par Satan car c’était leur destin de l’être. Les riches, eux étaient récompensés par Dieu…

Un homme d’un village voisin demanda à me voir. J’acceptai. Il représentait un groupe de pauvres et venait me trouver pour me parler des conditions désespérées dans lesquelles il vivait avec sa famille… »

Shirley Mac laine accepte dans un premier temps de l’aider, puis cesse devant l’opposition de son entourage. L’homme tomba malade et avant de mourir, jura de se venger. Sa famille ainsi que d’autres familles du village moururent aussi. Ceux qui s’opposèrent à ce qu’elle aide les villageois sont ses parents dans la vie présente. Elle conclut :

« Le karma de mon père et de ma mère m’apparaissait clairement : comme ils avaient retenu de l’argent au lieu d’en faire profiter les paysans frappés par la misère, ils étaient confrontés dans cette incarnation à des problèmes d’argent bien à eux…

L’expérience la plus révélatrice toutefois est celle avec l’homme du village…l’homme qui avait juré de se venger de moi est mon ex-mari Steve (Parker). Pendant notre mariage il avait éprouvé le besoin de me soutirer d’importantes sommes d’argent. Et au moment de notre divorce, il avait cru bon d’exiger des montants encore plus importants. » (13)

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Rigidité ou souplesse des programmations

Alors que certains témoignages semblent démontrer une extrême rigidité des programmations, ce qui ne laisserait presque aucune place au libre arbitre, d’autres apparaissent beaucoup plus souples.

Un exemple de programmation rigide :

Camille Flammarion (1842-1925), qui fut astronome et vulgarisateur scientifique, a rassemblé et publié des centaines de témoignages de rêves prémonitoires. L’un d’eux, émanant d’un pharmacien de Bordeaux, donne un exemple de programmation d’une absolue rigidité :

« En 1867, j’étais à Bordeaux, à la tête d’une pharmacie que je venais d’ouvrir depuis quelques mois. Une nuit, je vis en songe le chiffre de 76 fr. 30 inscrit sur le livre de recette à la place où devait s’inscrire celle du lendemain. Le lendemain, dans la matinée, je voyais ce chiffre si bien gravé dans mon esprit que je ne pus m’empêcher d’en parler à mon aide.

La recette ordinaire étant en moyenne de 45 francs, nous pensions que le chiffre 76 fr. 30 représenterait deux journées.

Le travail dans la journée fut ce qu’il était les jours précédents, mais le soir nous fûmes débordés de monde. Enfin, à 10 heures et demie, après le dernier client (le centième au moins), je fis la caisse et j’y trouvai exactement 76 fr. 30.

Jaubert, de Carcassonne, à qui je racontai le fait, me fit remarquer qu’il avait fallu un concours d’esprits très nombreux : amener des clients, empêcher d’autres d’arriver, un caissier sûrement devait figurer dans les opérateurs.

Je me souviens d’une circonstance. Une jeune dame, que je savais payant très mal, achetait, achetait, articles sur articles, elle semblait obéir à une inspiration. Enfin elle régla ! Cet acheteur était le dernier, sûrement il fallait son argent au caissier spirituel. « 

A. COMËRA, à Toulouse. (lettre 782) (14)

Ce cas impliquerait qu’une centaine de personnes, se soient strictement conformés à leur programmation, pour que la recette de la pharmacie soit identique au centime près, à ce qui était programmé.

Une telle situation ferait, en quelque sorte, de chacun de nous, de simples pantins animés par d’invisibles marionnettistes.

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Un exemple de programmation à options :

Aux antipodes du cas précédent, le cas rapporté par le Dr Joel Whitton montre une grande souplesse dans l’application des programmations :

Il s’agit d’un de ses patients qui fut confronté à un choix crucial : alors qu’il était âgé d’une vingtaine d’années et qu’il se trouvait au chevet de son père, avec qui il entretenait de très mauvais rapports, il s’aperçut que celui-ci avait du mal à respirer, le tube de l’appareil d’assistance respiratoire s’étant déboîté.

Il se trouvait placé devant un dilemme : appeler une infirmière pour faire remettre le tube en place ou laisser mourir son père.

Après une brève réflexion il courut chercher une infirmière qui remit le tube en place. Quelques années plus tard, à l’âge de 29 ans, il eut un accident : alors qu’il circulait à bicyclette il fut happé par un camion et s’en tira avec seulement un fémur fracturé.

Ce n’est qu’une dizaine d’années plus tard, alors qu’il était en analyse avec le Dr Whitton que ce patient découvrit le lien entre ces deux évènements. Il déclare :

« Mon script karmique stipulait clairement que l’important incident dont j’avais été témoin avec mon père constituait une très importante épreuve que je m’étais imposée.  Si je pouvais lui pardonner le mal qu’il m’avait fait – ce qui semblait s’être déroulé pendant plusieurs vies – je ne mourais pas au cours de l’accident de bicyclette. Tout cela avait été prévu, car ma conduite passée m’aurait normalement poussé à laisser mourir mon père. » (15)

Ainsi, avant l’incident de l’appareil respiratoire, il existait pour ce sujet au moins deux futurs possibles :

1 – Il laissait mourir son père et serait mort à 29 ans dans l’accident de la circulation.

2 – Il appelait l’infirmière pour sauver son père et survivait à l’accident.

Alors que nous ne doutons pas de l’exactitude du témoignage du pharmacien de Bordeaux, nous ne pouvons qu’espérer que nos programmations de vie nous offrent des options, entre lesquelles notre libre arbitre exercera ses choix.

Des programmations impératives :

Nombre d’expérienceurs ayant vécu des NDE d’amour infini ont naturellement voulu demeurer dans l’au-delà et ne pas réintégrer leur corps. Mais il leur a été expliqué que le moment n’était pas venu et qu’ils avaient encore à faire sur Terre.

L’un des plus célèbres est certainement le Pape Pie XII qui aurait fait deux NDE, le 1er décembre 1953 et en 1954.

En 1953, il aurait vu le Christ qui serait venu le réconforter : « Et après un court instant, il s’en fut »

En 1954, il aurait vu à nouveau le Christ, mais, à nouveau, le temps n’était pas encore venu de partir. D’après sa gouvernante, sœur Pascalina il aurait dit :

« …Notre cher sauveur m’a dit que mon heure n’était pas encore venue » (16)

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Le Dr Moody rapporte le témoignage d’un enfant qui fit une NDE à la suite d’un accident :

« Je flottais à environ deux mètres au-dessus de mon corps ; il y avait plein de monde tout autour (…)

L’ambulance est repartie et j’ai essayé de la suivre. J’étais au-dessus d’elle et je la suivais. Je me suis dit que j’étais mort. J’ai regardé autour de moi et j’ai vu un tunnel avec une lumière très forte au bout. Le tunnel donnait l’impression de monter et de descendre. Je suis sorti à l’autre bout.

Il y avait plein de gens dans la lumière, mais je ne connaissais personne. Je leur ai dit que je venais d’avoir un accident et ils m’ont répondu que je devais repartir. Ils m’ont dit que ce n’était pas encore le moment de mourir et que je devais retourner avec mon père, ma mère et ma sœur.  (…)

Je voulais aller vers la lumière. Quand j’étais dans la lumière, je ne voulais plus repartir. J’avais presque oublié mon corps. (…)

Ensuite elles m’ont dit que je devais repartir. J’ai repris le tunnel en sens inverse et je me suis retrouvé à l’hôpital… » (17)

Plus rarement, l’expérienceur a le choix entre demeurer dans l’au-delà et retourner dans son corps.

Ce fut le cas d’Anita Moorjani, qui vécut une NDE consécutive à un cancer généralisé. Les conditions dans lesquelles s’est opéré ce retour, révèlent que la guérison est du seul ressort du niveau supérieur de conscience.

« Avant cela, les médecins avaient fait des examens pour vérifier le fonctionnement de mes organes avec la conclusion que vous connaissez. Mais dans ce monde-là, il semblait que le résultat des examens et du rapport dépendait de la décision que je devais prendre – soit vivre, soit continuer mon chemin vers la mort -.

Si je choisissais la mort, le résultat des examens indiquerait la défaillance des organes. Si je choisissais de revenir dans la vie physique, ils concluraient que mes organes recommençaient à fonctionner. »

L’esprit de son père, décédé depuis plusieurs années et qui l’assistait dans ce choix, l’informe que si elle franchit une certaine barrière, elle ne pourra plus revenir.

« Je pris alors conscience d’une barrière devant moi, bien que la démarcation ne soit pas matérielle. C’était plutôt comme un seuil invisible marqué par une variation de niveaux d’énergie. » (18)

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Programmation de la mort et des maladies :

Une guérison opérée par le Padre Pio montrerait qu’il serait même possible de prolonger une vie dont la mort était programmée.

Pascal Cattaneo rapporte les cas de deux religieux ; le premier avait été guéri par Padre Pio quelque temps auparavant et un second, très malade et souffrant beaucoup souhaitait mourir.

Le Padre Pio lui avait répondu :

« Mon frère, votre billet de chemin de fer n’est pas encore prêt. »

Ce qui signifiait que sa mort n’était pas encore programmée. Evoquant la guérison dont il avait bénéficié, l’autre religieux demanda alors :

« Mais pour moi, le billet était prêt ? »

 Le Padre Pio répondit :

« Oui, pour toi le billet était prêt, et le train aussi ! Tu ne peux pas savoir ce que tu me coûtes ! » (19)

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La programmation des guerres mondiales

Les événements terrestres, depuis les plus gigantesques jusqu’aux plus anodins, n’échappent pas à cette programmation.

Ainsi, de nombreux témoignages nous révèlent que les deux guerres mondiales étaient programmées.

Pour la première guerre mondiale, nous citons le témoignage du psychiatre Carl Gustav Jung (1875-1961) et pour la seconde, celui d’une religieuse, Mère Yvonne-Aimée de Malestroit (1901-1951).

Le psychiatre Carl Gustav Jung rapporte deux visions précognitives de la première guerre mondiale :

« Au mois d’octobre (1913), alors que j’effectuais un voyage seul, je fus soudain assailli par une vision : je vis un flot immense recouvrir tous les pays de plaine septentrionaux, situés entre la mer du Nord et les Alpes. Les flots s’étendaient alors de l’Angleterre à la Russie, et des côtes de la mer du Nord presque jusqu’aux Alpes. Lorsqu’ils atteignirent la Suisse, je vis les montagnes s’élever toujours davantage, comme pour protéger notre pays.

Une catastrophe épouvantable venait de s’abattre. Je voyais d’immenses vagues jaunes, les débris des œuvres de la civilisation flottant, et la mort d’innombrables milliers d’humains. La mer se transforma alors en flots de sang.

Cette vision dura une heure environ. Elle me troubla et me donna des nausées. J’eus honte de ma faiblesse.

Deux semaines s’écoulèrent. Alors la vision se reproduisit dans les mêmes circonstances et avec les mêmes images ; seulement, la transformation finale en flots de sang était encore plus épouvantable.

Une voix intérieure me dit : »Regarde bien ; c’est tout à fait réel et cela sera ainsi ; tu n’en peux douter. » (20)

Yvonne Beauvais, en religion « Mère Yvonne-Aimée de Jésus » (1901-1951) du monastère de Malestroit (Morbihan), fut une grande mystique dévouée. Entrée au monastère comme novice en 1927, elle sera élue mère supérieure en 1935.

Elle a eu de nombreuses visions du futur et comme nombre de mystiques de l’église catholique, elle fut traitée avec méfiance par sa hiérarchie. Ainsi, son directeur de conscience lui enjoignit de mettre par écrit toutes ses perceptions.

Cet ordre, auquel elle obéit toute sa vie, nous permet de vérifier la réalité de ses précognitions car on lui doit le cas le mieux documenté de précognition de la deuxième guerre mondiale.

Le 25 mars 1925 Yvonne-Aimée fait un rêve prémonitoire qu’elle écrit dans son carnet (page 26).

« J’ai eu cette nuit un songe curieux. Cette fois, je me demande si je ne suis pas à moitié folle : Je me suis vue devant la Clinique avec beaucoup de religieuses autour de moi.

Cela semblait être un jour de fête, il faisait beau, j’avais sur la poitrine, épinglées, 4 ou 5 médailles, dont la Légion d’honneur.

J’étais au milieu des religieuses et semblait être leur Mère. Un grand officier vint vers moi me saluer. Une autre religieuse portait aussi une médaille.»

Elle conclut ainsi :

« Quel rêve curieux – j’ai tout écrit bien fidèlement et mot à mot tout ce que j’ai entendu… j’espère que ce n’est ni le démon ni l’orgueil qui me font ainsi rêver des choses incompréhensibles. » (21)

Le 7 aout 1949, la scène se déroulera et fut filmée par deux caméras. Yvonne-Aimée avait écrit « 4 ou 5 médailles, dont la légion d’honneur », elle en a 5, une autre religieuse porte aussi une médaille et le général Audibert, un homme de haute taille, vient la saluer.

Ces médailles, expriment la reconnaissance de son activité de résistance durant la guerre où elle fut arrêtée et torturée par la Gestapo. La perception de ces médailles en 1929, démontre qu’alors qu’Hitler n’était pas encore au pouvoir, des événements de la guerre étaient déjà programmés dans leurs plus petits détails.

Que d’aussi terribles tragédies soient programmées pourrait nous donner une vision sinistre de la condition humaine, victime d’un ordre invisible et tout puissant.

En réalité, les guerres ne sont que la conséquence de l’accumulation, par l’humanité, des énergies négatives qu’elle produit. Cette réalité est très dérangeante pour l’ego, ainsi privé de l’illusion de maîtriser sa propre destinée et se voir relégué au rôle de pantin, qu’un invisible marionnettiste agite au bout de ses fils.

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Progresser au fil des incarnations

La réalité de la réincarnation fut enseignée par des philosophes comme Goethe, Schopenhauer ou Benjamin Franklin. Ce dernier l’a exprimée dans un projet d’épitaphe qu’il destinait à sa tombe :

« Ci-git, le corps de Benjamin Franklin, Imprimeur. Semblable à la couverture d’un vieux livre aux pages arrachées, abandonné aux vers, avec son titre et sa dorure effacés.

L’œuvre ne se perdra pas car, comme il le croyait, elle reparaîtra encore une fois dans une édition nouvelle et plus élégante. Revue et corrigée par l’Auteur. »

La formule de benjamin Franklin : « édition nouvelle … revue et corrigée par l’Auteur », résume parfaitement le but du processus de réincarnation : apprendre pour progresser.

Le but de l’incarnation est d’expérimenter dans la matière dense ce qui a été conçu dans les dimensions supérieures.

Tant au niveau du processus global d’évolution que de celui de l’enseignement quotidien, l’expérience est le maître mot. Nous citerons encore Benjamin Franklin qui écrivit :

« L’expérience tient une école couteuse. Mais c’est la seule dans laquelle les imbéciles peuvent apprendre. »

En comparant chaque incarnation à une journée d’école, nous pouvons concevoir que plus grand est le nombre des incarnations vécues par un être et plus importante est sa connaissance de l’ordre universel.

Le schéma suivant figure en silhouettes sombres, les existences présentes et en blanc les vies passées.

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La vie entre deux incarnations

Dès lors que l’on admet la réalité du processus de réincarnation, comme il se passe nécessairement un certain temps entre la mort d’une incarnation et la naissance de la suivante, la question de la vie entre deux incarnations se pose.

Les traditions religieuses ont imaginé des lieux paradisiaques ou infernaux, mais les témoignages des expérienceurs et les travaux de psychologie nous apportent des descriptions plus crédibles de ce que l’on pourrait appeler la dimension supérieure de l’humain.

Betty J. Eadie, une expérienceuse de NDE, rapporte avoir eu le sentiment d’être de retour chez elle :

« … J’eus la sensation d’être absorbée tout en éprouvant une immense explosion d’amour.

C’était un amour inconditionnel. Il ouvrit ses bras pour m’accueillir, je vins à lui et il m’enlaça.

Je répétais sans cesse : « Je suis chez moi. Je suis chez moi. Je suis enfin chez moi. » (22)

Cette sensation d’être « chez soi », est confirmée par le témoignage d’une autre expérienceuse, Marie de Solemme, qui vécut une situation proche de la mort à la suite d’un accident de la route :

« …parce qu’à ce moment-là, la première chose que j’ai pensé c’est : « Je suis chez moi ! ». Ça y est … pour de bon. Je suis rentrée chez moi. C’est ma maison, et il n’y avait rien. Il n’y avait que cette brume lumineuse, mais je sentais que j’étais revenue là où j’avais toujours été. Et là c’était extraordinaire. » (23)

La réalité d’une dimension supérieure à notre dimension matérielle a été approchée depuis longtemps par les neurosciences.

Ainsi, lorsque le Dr John Eccles, prix Nobel de médecine en 1963 pour ses travaux sur le cerveau, démontre que ce dernier n’est pas le producteur, mais seulement le transmetteur de la pensée, il sous-entend que l’esprit se trouve bien à l’extérieur du cerveau.

(1) Trinh Xuan Thuan et Mathieu Ricard  « L’infini dans la paume de la main » Editions Fayard  (page 65)

(2) Sylvie Déthiollaz et Claude Charles Fourrier « Etats modifiés de conscience »  Editions Favre  (page 315)

(3) Cité par Jean Morzelle  « Tout commence après »  CLC éditions  (page 59)

(4) Jacques Monod.  « Le hasard et la nécessité ». (sans référence de page)

(5) Max Planck  « Das wesen der materie »  Conférence donnée à Florence en 1944.

(6) Socrate rapporté par Platon  « Ménon ou de la vertu »

(7) Jules César « La guerre des gaules », chapitre VI, paragraphe 14

(8) Ian Stevenson « Réincarnation et biologie »  (page 151)

(11) Dr Helen Wambach  « La vie avant la vie »  Editions Ramsay  (pages 103 à 105)

(12) Dr Michael Newton  « Journées dans l’au-delà » (page 127)

(13) Shirley Mac Laine, Danser dans la lumière, Editions Sand, page 338/339

(14) Camille Flammarion  « L’inconnu et les problèmes psychiques »   Editions Flammarion  (page 612)

(15) Dr Joel Whitton  « Entre deux vies »  Editions un monde différent  (page 103)

(16) Paul Murphy et René Arlington   « La Popessa »   Editions Lieu commun/France loisirs  (page 294)

(17) Dr Raymond Moody  « La lumière de lau-delà » Editions Robert Laffont (page71)

(18) Anita Moorjani  « Revenue guérie de l’au-delà »  Editions j’ai lu   (page 122)

(19) Cité par Pascal Cattaneo  « Fioretti de Padre Pio »  Editions médiaspaul  (page 144)

(20) Carl Gustav Jung  « Ma vie, souvenirs, rêves et pensées »  Editions Folio (page 204)

(21) Yvonne-Aimée de’ Malestroit  citée par René Laurentin « Prédictions de sœur Yvonne-Aimée de’ Malestroit »  Editions L’œil FX de Guibert 

(22) Betty J. Eadie  « Dans les bras de la lumière »  Editions Filipacchi  (page 46)

(23) Marie de Solemme, interview sur Youtube

christian urvoi - Fondateur Ultrahuman

Christian URVOI

Fondateur de UltraHuman
 » Si le futur n’existe pas, il existe une programmation du futur «